Le désir intense se libère de toute retenue,
Quand les deux corps sont nus,
Plus rien ne les retiens
Les deux amants à eux s’offrent, enfin.
Des baisers volent sur leur corps brûlants,
Les mains s’adonnent aux caresses
Que de complicité pour ces amants…
Leur nuit sera parfaite, jusqu'à ce que l’aurore les blesse
Ils devront alors se quitter,
Le temps d’une journée,
Ce n’est que pour mieux se retrouver,
Et faire renaître cette complicité.